L'Amour profane de Basilius Besler
01 avril 2012
L’Amour profane de Basilius Besler
Isabelle Pouchin
(Gaspard Nocturne, 2011)
(par Annie Forest-Abou Mansour)
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01 avril 2012
L’Amour profane de Basilius Besler
Isabelle Pouchin
(Gaspard Nocturne, 2011)
(par Annie Forest-Abou Mansour)
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4 commentaires
Difficile de résister à la lecture de cet ouvrage, après des commentaires si raffinis...et si justes !
Marta Kerl
Bonjour,
Pourquoi la beauté fragile de la nature permettrait-elle de lutter contre la peur et l'intolérance ?
Il me semble que la fragilité de la nature semble davantage inspirer l'effroi que la jouissance. Cette nature qui émerge à la vie, s'épanouit et disparait, sans que l'on en comprenne le sens, est plus porteuse d'interrogation que de réconfort...à mon sens bien entendu.
Marc C.
C'est la vision poétique de Basilius Besler enfermé dans sa tour d'ivoire florale. La beauté des fleurs lui permet d'oublier le monde qui l'entoure.
Je connais un lieu où se trouve le symbole de la fragilité de la vie et de la vacuité : c'est le Cabinet de Réflexion en Maçonnerie.
Dans ce lieu de ténèbres, on enferme le profane avant son initiation. Devant lui, maints symboles sont offerts à sa réflexion : le crâne, la faux, le sel, le coq. Cette vaste composition allégorique suggère magnifiquement la vacuité, la fragilité de l'existence et l'éphémère.
Un maçon anonyme
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