Si l'âme oiselle la mère, veilleuse, poétise
21 novembre 2016
Si l’âme oiselle la mère, veilleuse, poétise.
Carmen Pennarun
L’amuse Loutre édition (2016)
(Par Annie Forest-Abou Mansour)
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2 commentaires
Merci de faire connaître cette magnifique poétesse!
Vous avez analysé ses thèmes de prédilection avec finesse, choisissant des citations qui illustrent parfaitement votre propos.
Un commentaire qui donne vraiment envie de lire les poèmes.
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