01 avril 2012
L'Amour profane de Basilius Besler
L’Amour profane de Basilius Besler
Isabelle Pouchin
(Gaspard Nocturne, 2011)
(par Annie Forest-Abou Mansour)
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19:55 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
Difficile de résister à la lecture de cet ouvrage, après des commentaires si raffinis...et si justes !
Marta Kerl
Écrit par : kerl | 03 avril 2012
Bonjour,
Pourquoi la beauté fragile de la nature permettrait-elle de lutter contre la peur et l'intolérance ?
Il me semble que la fragilité de la nature semble davantage inspirer l'effroi que la jouissance. Cette nature qui émerge à la vie, s'épanouit et disparait, sans que l'on en comprenne le sens, est plus porteuse d'interrogation que de réconfort...à mon sens bien entendu.
Marc C.
Écrit par : marc | 03 avril 2012
C'est la vision poétique de Basilius Besler enfermé dans sa tour d'ivoire florale. La beauté des fleurs lui permet d'oublier le monde qui l'entoure.
Écrit par : Annie | 05 avril 2012
Je connais un lieu où se trouve le symbole de la fragilité de la vie et de la vacuité : c'est le Cabinet de Réflexion en Maçonnerie.
Dans ce lieu de ténèbres, on enferme le profane avant son initiation. Devant lui, maints symboles sont offerts à sa réflexion : le crâne, la faux, le sel, le coq. Cette vaste composition allégorique suggère magnifiquement la vacuité, la fragilité de l'existence et l'éphémère.
Un maçon anonyme
Écrit par : maçon | 03 avril 2012
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