21 novembre 2016
Si l'âme oiselle la mère, veilleuse, poétise
Si l’âme oiselle la mère, veilleuse, poétise.
Carmen Pennarun
L’amuse Loutre édition (2016)
(Par Annie Forest-Abou Mansour)
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14:39 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Merci de faire connaître cette magnifique poétesse!
Vous avez analysé ses thèmes de prédilection avec finesse, choisissant des citations qui illustrent parfaitement votre propos.
Écrit par : Nicole Giroud | 29 novembre 2016
Un commentaire qui donne vraiment envie de lire les poèmes.
Écrit par : Martine | 07 décembre 2016
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